mercredi 19 août 2009
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Take all my loves, my love, yea, take them all What hast thou then more than thou hadst before ? No love, my love, that thou mayst true love call : All mine was thine before thou hadst this more...
4 commentaires:
coucou Apolline,
tu me connais pas du tout et moi non plus mais je lis tout les jours tes poèmes,c'est juste dingue, j'adore ce style mystérieux mais qui peut aller très loin en même temps.
Bref j'apprécie beaucoup de que tu fais, continue comme ça, c'est beau à lire et à voir...
Prend soin de toi,
Constantin
Anonyme au début...
Constantin à la fin.
Pour une fois, voilà un homme qui en a. Cela change, cher visiteur !
Merci pour ce joli commentaire, d'autant plus apprécié que la cible de mon lectorat, pour parler en termes journalistiques, n'est pas forcément masculine...
Quant à prendre soin de moi, ça, mon cher, n'ayez aucune crainte, ma petite personne s'en occupe avec une méticuleuse régularité.
Bien à vous,
A.
Ma chere Apolline,
Je vous remercie beaucoup de votre sincere et gracieuse reponse!
Je ne lis vos articles seulement que depuis environ deux semsines...
Je voulais savoir comment se fait-il que votre inspiration soit si reguliere et si profonde?? J'eusse la patience et le temps d'ecrire il y a quelques annees mais malheureusement j'ai du quitter Paris pour mes etudes voila 4 ans maintenant et le temps me manques terriblement pour m'attarder a c plaisir sans fin...
Puis-je me permettre de vous demander ce que vous faites dans la vie en dehors de ces oeuvres?
Cordialement,
Constantin
"Puis-je me permettre de vous demander ce que vous faites dans la vie en dehors de ces oeuvres?"
Mais, mon cher Constantin, je croyais que vous l'aviez compris : j'en vis.
J'en vis délicieusement.
Bien à vous,
A.
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