lundi 20 juillet 2009

rencontre, CMXLV



S'ensuient et non s'enfuient, bien sûr. Ces graphies de l'une de mes premières jeunesses retiennent souvent sous leur charme une mélancolie certaine.






Parfois blessante, même.

Oui, à ce point, car tout cela m'enseigne, au fil de ces siècles qui passent et qui, d'une certaine manière, répètent à l'infini de bien semblables passions humaines, combien fugitive est la beauté des corps, et combien nombreux s'y arrêtent pourtant, frêles papillons un instant chatoyants mais que l'éclat de leurs propres petites ailes fascine au point de les brûler.

Si vite, hélas.



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