Mais tu sais très bien que je te pardonne
l'insatiable feu qui te saisit
le corps et le dévore et le couronne
Princesse ardente aux si doux appétits
Take all my loves, my love, yea, take them all What hast thou then more than thou hadst before ? No love, my love, that thou mayst true love call : All mine was thine before thou hadst this more...
2 commentaires:
Vous êtes revenue, enfin! C'est si doux de retrouver votre prose et ce qui l'illustre. Tout ici est si beau.
Que vous dire de plus que Merci...
Lau.
Mais je ne suis jamais partie.
Invisible n'a jamais voulu dire absente.
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