jeudi 26 mars 2009

rencontre, DCCXCI



Bien entendu, il y a des situations plus ou moins avenantes. Le baiser français demande un bon tour de langue : comme l'italien réclame sans doute autre chose... Chacun son génie propre, chacun sa quête aussi : ainsi l'Amour même, soi-disant si universel, parce qu'humain, ne l'est peut-être pas tant que ça...


Dans toute cette affaire, quelque chose nous échappe, au fond, et même en surface.







Tenez : ce visage, là, par exemple, que vous regardez d'un coin de votre oeil tout en me lisant, oui, ce tableau, ce portrait de femme : vous croyez le connaître, ou du moins le reconnaître, n'est-ce pas ? Il vous rappelle forcément quelque chose, ou quelqu'un... Et pourtant... c'est comme si... comme s'il lui manquait... un détail.


Eh bien voilà. Tout est là.


Le Diable est dans les détails. Et donc, forcément, le Plaisir aussi.



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