jeudi 3 janvier 2008

rencontre, CCV


J'avoue que ce pas franchi m'a fait tout le bien profond que mon corps en déshérence attendait depuis si longtemps. Trop de poussière parmi les mécanismes en sommeil. Trop de latence entre les rouages du non-temps ! Trop de peau qui s'y oublie, trop de caresses qui s'y dessèchent, trop de murmures qui s'y meurent ! Mais cela même a su finir : à moi, donc, maintenant, et sans plus attendre un seul instant,






LA VIE !


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