Bien peu parmi mes pourtant proches amis -je pense à mon très cher Doyle, ce regretté- ont pu photographier les fées. Ces invisibles Amazones sont en effet d'une bien elfiques discrétion, pour ne pas dire d'une féérique pudeur !
Mon assidue fréquentation de Brocéliande m'autorise cependant ce soir à vous en dévoiler l'une -et peut-être bientôt quelque autre : en compagnie de sa sublime monture au cou si phallique et céleste à la fois !
Et permettez-moi d'en dédier la Beauté à ma non moins très chère Laurence, la celte Laurence, la céleste bien sûr, aussi, car mon Amie.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire